Dans cet entretien, le Premier ministre justifie ce non-respect par un retard lié à l’exécution des dix points du chronogramme. À cet effet, il déclare : « Il y avait un accord entre la Guinée et la CEDEAO par rapport à un agenda pour la réalisation des dix points du chronogramme. Il y a eu un retard et nous assumons ce retard. » Néanmoins, il rassure : « Nous nous activons, comme le président Doumbouya l’a déclaré le 31 décembre dernier, pour que le référendum puisse se tenir à la fin de cette année. »
Avec cette déclaration, le doute n’existe plus quant à un éventuel glissement du calendrier de la transition guinéenne.
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