“Être fidèle à ceux qui sont morts, c’est vivre comme ils auraient vécu”, ce dicton inspire KPC qui n’oublie pas ses proches aussitôt qu’ils disparaissent ou ne peuvent plus rien lui apporter. Ce jeudi, malgré le vide qu’il laisse, la tristesse de le perdre, les larmes qui continuent de couler, le deuil que chacun vit encore, notre, désormais, feu Salifou Campel Bangoura a eu droit à tous les honneurs, à l’hommage digne de lui, grâce à son ami, son “boss” comme il aimait à l’appeler de son vivant, en l’occurrence, KPC.
Parti trop tôt, à la fleur de l’âge, ce moment de la vie où on est mieux préparé à supporter les épreuves, Campel, aujourd’hui, arraché à notre affection, bien qu’il soit considéré mort et enterré, ne vit pas moins parmi nous, présent dans nos esprits et associé à toutes nos pensées et prières.
Pour témoigner de son affection, exprimer sa compassion et vivre cet instant de deuil et de douleurs avec la famille éplorée, le PDG de GUICOPRES, absent du pays au moment du rappel à Dieu de notre regretté défunt, Campel Bangoura, a tenu, ce jeudi, à son tour, en personne, à célébrer la mémoire de son fidèle et valeureux compagnon qui laisse un vide derrière lui.
Le choix du Stade Petit Sory n’est pas un hasard ni une question de commodités. L’on a voulu tenir compte des habitudes que l’homme décédé y avait. Tout un autre symbole encore !
Le Stade Petit Sory était sa seconde demeure qu’il ne quittait que pour son lit. Pendant les matches, les autres jours aussi, au quotidien, Campel, était là, en ce lieu dont il avait fini par devenir le visage le plus familier.
Pour sa part, en honorant la mémoire de l’un de ses plus proches, KPC se montre digne de confiance et capable de grandes fraternités.
Adios Campel !
Merci, KPC.
La Rédaction.
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